Candaulisme Jour J+4
Le réveil de jeudi matin s'est fait assez tard puisque nous sommes les derniers au petit-déjeuner. Ma femme me redit le plaisir qu'elle a ressenti d'être utilisée comme un jouet par trois jeunes inconnus. Elle me demande :
- Et toi, être cocu et humilié est à la hauteur du plaisir que tu imaginais?
- Oui, plus que jamais, je me souviens pas avoir été aussi excité
Elle rigole, moqueuse :
- Heureusement pour toi parce que je ne pourrai sûrement plus jamais me contenter de ton petit machin d'éjaculateur précoce
Je n'ai rien répondu, j'ai juste baissé la tête et rougis.
Le patron vient nous dire bonjour. Ma femme, qui n'a rien mis sous sa robe, s'arrange pour qu'il ait une vue plongeante dans son décolleté. Je reste discret, faisant celui qui ne voit pas son manège. Dés qu'il a tourné le dos, elle me dit :
- Va te préparer pour aller faire ton petit footing, j'ai besoin d'une heure de tranquillité. Il baise trop bien, j'ai envie de sentir sa queue dans mon ventre.
- Je peux finir mon petit déjeuner?
- Non, vas-y tout de suite !
Le ton impératif ne prête aucune discussion. J'obéis donc. Lorsque je repasse vers elle pour lui dire que j'y vais, le patron est la, en train de discuter et sûrement pas du temps puisqu'il s'arrête en me voyant arriver et fait mine de retourner vers la réception. Je dis à Sylvie :
- Vu le tour que je veux faire, j'en ai pour au moins pour une heure.
- Je t'interdis de te retourné en quittant la terrasse, tu auras l'humiliation d'imaginer ta tendre épouse complètement ouvrir sa robe dans ton dos, devant ton cocufieur.
Je remarque que deux boutons de sa robe sont déjà décrochés. Le patron est au bord de la terrasse. A part lui et nous, il n'y a personne. Quand je passe vers lui, il me souhaite une bonne course en regardant par-dessus mon épaule. Je devine à ses yeux que la phrase de ma femme n'était pas une phrase en l'air !
Sylvie se fait baiser pendant plus d'une demi-heure.
A mon retour, ma femme me dit :
- Il baise vraiment bien et j'aime de plus en plus être prise vigoureusement par des sexes bien durs !
Je n'ai rien répondu et nous sommes partis en direction de la plage après un crochet par la pharmacie pour remplir le "sac à capote" de madame. Pendant le trajet en voiture, elle téléphone à Jerôme. Répondant à ses questions elle lui dit qu'elle a vu à chaque passage sur la plage le gros homme qui l'avait baisée dans les dunes, mais qu'il ne l'a plus approchée. Son amant lui ordonne donc de partir nue de la voiture et d'aller vers lui pour se faire de nouveau baiser comme la dernière fois.
Comme je n'ai jamais pu lui donner d'ordre, je n'imagine pas ma femme aussi docile car elle a obéis sans discuter. Comme je lui en fait la remarque, elle rigole et me dit, moqueuse :
- Lui me fait grimper au rideau, c'est pas comme toi. Je trouve très excitant d'obéir à un étalon.
Nous laissons donc la voiture sur le parking, je dois aussi me mettre nu et c'est vêtu de ma seule cage de chasteté, portant nos linges, un pique-nique et un parasol que je m'engage sur la plage. Ma femme n'a que son petit sac à capote. Lorsqu'elle voit l'homme assis sur une chaise en haut de la plage, en train de lire un journal. Elle me dit :
- Tu va t'installer dans le même coin que d'habitude, moi je vais lui dire bonjour et profiter d'une queue pas très performante, mais quand même plus que la tienne.
Je ressens une grande honte en lui obéissant, mais je n'hésite pas une seconde. La voyant nue comme la fois ou il en avait profité, l'homme se lève pour venir à sa rencontre. Je le vois, au milieu de la plage, la peloter sans hésiter. Une main sur un sein et l'autre entre ses jambes. Alors qu'il l'emmène dans les dunes, je remarque un homme dans la cinquantaine, bedonnant et qui semblait dormir se lever et les suivre.
Alors que je continue ma marche vers notre coin isolé, ma femme se retrouve rapidement couchée et pénétrée par son amant du moment. Il éjacule assez rapidement, après l'avoir besognée 5 minutes et lui avoir procuré un petit orgasme. Le deuxième homme s'est rapproché, en regardant le couple il a pris un préservatif dans le sac et s'est préparé. Il vient, à son tour la pénétrer. Ça ne durera pas longtemps et il éjacule sans se préoccuper de plaisir de Sylvie.
Lorsqu'elle me rejoint, ma femme me dit :
- Tu auras ta chance de me faire l'amour, j'ai à peine senti le deuxième qui m'a baisé, il avait un sexe aussi insignifiant que le tien.
Je n'ai pas osé lui demander de lui faire l'amour tout de suite. Elle s'est couchée pour se bronzer et m'a fait mettre à genoux à coté d'elle. Elle me caresse les couilles en me disant :
- Alors, on est à l'étroit dans la cage ? On a envie de baiser sa maîtresse ?
Je sens mon excitation à son comble. Mon sexe aurait envie de gonflé mais ne peut pas. Ça qui a pour effet de me faire énormément mouiller et de faire sourire ma femme.
- Tu mouilles plus qu'une femme en chaleur. Ça me promet une partie de baise d'au moins 15 secondes!
Je suis toujours dans cette position quand Jérôme arrive. Sans le moindre préliminaire, il se couche sur ma femme et la pénètre en lui disant :
- Salut petite pute, je vois que tu m'attendais, déjà bien mouillée.
Il l'a fait crier de plaisir avant d'éjaculer au fond de son ventre. Alors que les deux amants reprennent des forces, nous mangeons notre pique-nique. Un peu plus tard un groupe d'hommes noirs s'approche de nous. Je vois Sylvie regarder Jérôme pour savoir si c'est lui qui les a fait venir. Elle ne se pose pas longtemps la question puisque son amant lui dit :
- Mets-toi à quatre pattes pour les recevoir comme une bonne chienne.
Il lui tapote le cul en lui disant :
- Ils m'avaient dit qu'ils seraient deux ou trois et ils sont cinq ! Ton cul va être content, il aura sa dose.
Elle se fait peloter, puis se retrouve avec un sexe dans la bouche et un autre dans le ventre. Je remarque que la réputation des noirs n'est pas usurpée pour eux. Ils décident de tous passer dans chacun de ses trous. Pendant deux heures, des bites la feront jouir.
Alors qu'ils boivent une bière en commentant les talents de "la chienne blanche", ma femme reprend ses esprit tranquillement, puis se tourne vers moi.
- Vient que j'enlève le cadenas, ça va être à ton tour. Tu auras trente secondes pour te masturber et te faire durcir puis trente secondes pour éjaculer dans mon ventre.
Les six hommes me regardent amusés. Obéissant, je me masturbe, faisant durcir mon sexe sans trop de problème. Je ne sais pas si c'est la peur de devoir remettre la cage sans jouir ou une envie d'humiliation encore plus forte, mais je caresse habilement et discrètement le dessous du gland. C'est chez moi une zone hyper sensible chez moi et cette caresse est susceptible de me faire éjaculer très rapidement.
Alors qu'elle m'annonce que les 30 secondes de masturbation sont passées, j'approche mon sexe de son vagin sans arrêter mes caresses. La j'ai la honte de ma vie, alors que je m'apprête à la pénétrer, j'éjacule. Moi qui aime les humiliations, me voilà servi avec les éclats de rire des 6 hommes et de ma femme. Elle m'oblige à lécher mon sperme pour la nettoyer, puis à remettre ma cage de chasteté.
Les noirs remercient Jérôme de leur avoir prêté sa pute et repartent. Un peu plus tard nous repartons en même temps que Jérôme. Pendant le trajet il demande à Sylvie :
- Tu te souviens de notre dial sur le net à propos de tes fantasmes?
- Oui
- Demain je te ferai réaliser celui que tu m'as avoué. Mais je veux ton accord avant qu'on se quitte aujourd'hui.
Sylvie devient rouge et ne dit rien. Je porte toutes les affaires tandis qu'il pelote ma femme jusqu'au parking. Il l'a baise une dernière fois à l'abri des regards, derrière sa voiture.
- Alors prête à réaliser ton fantasme demain?
Je la vois fébrile, elle fait oui timidement de la tête. Il nous quitte en disant à Sylvie :
- Je passe de prendre à 11h00 à l'hôtel. Préviens ton cocu que tu seras absente jusqu'à samedi matin. Je te garderai dans mon lit pour ta dernière nuit de vacances. Bonne soirée
Dans notre voiture, Sylvie me parle du fantasme :
- Dans la discussion sur msn, il m'avait demandé si j'avais le même fantasme que la plupart des femmes : celui d'être violée par des beaux mâles. Je lui ai répondu que ça m'arrivait d'y penser, mais que c'était pas le fantasme qui me trottait le plus dans la tête. J'ai fini par lui avouer mon fantasme le plus inavouable que je n'avais jamais raconté.
Après un moment de silence elle continue :
- Je m'imagine louant mes charmes. Faisant la pute quoi.
Elle est soulagée que je ne prenne pas mal son fantasme puisque je lui fais remarquer que, ce qu'elle vient de vivre sur la plage y ressemble, il ne manquait que l'argent. Elle m'embrasse et me dit :
- Je t'aime mon cocu, merci de me laisser découvrir tous ses plaisirs.
- Moi aussi je t'aime et j'aime être ton cocu.
Nous passons une soirée en amoureux. Sylvie est fatiguée mais heureuse
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